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INFORMATIONS

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INFOS GÉNÉRALES

Retrouvez dans cette partie l'ensemble des informations partagées dans l'application THE SORORITY.

Bonne lecture à vous.

Ensemble.

COMMENT UTILISER L'APPLICATION :

  • SON FONCTIONNEMENT

1° MENU/Profil:

—> Je définis mes acquis et domaines de compétence pour aider et mettre au profit de la communauté, mes connaissances, expériences, conseils et expertise.

—> je définis mes besoins/aspirations actuelles pour obtenir de l’aide, des conseils, du soutien dans mes projets et actions.

—> Je renseigne mes coordonnées pour être contacté/secouru.e en situation de danger en tant que victime ou témoin. Pour agir ensemble, sur l’instant, avant qu’il ne soit trop tard.

—> Je peux créer un profil en tant que personne physique, professionnel.le, entité, association.

2° MENU/ Réglages et confidentialité:

—> J’active la géolocalisation afin de pouvoir géolocaliser et être géolocalisé.e par les utilisat.eu.rices (lancement d’alerte, recherche etc…)

—> Je définis le rayon de géolocalisation: je prévois un rayon large au début, le temps que les utilisat.eu.rices arrivent sur l’application. Au fur et à mesure de leur arrivée, je peux réduire le rayon afin de rendre l’alerte/ la recherche plus facile, précise et efficace.

—> J’active mes notifications afin d’être tenu.e informé.e des agressions autour de moi et pouvoir venir en aide le plus rapidement possible.

 

3° Géolocalisation:

—> Je visualise les utilisat.eu.rices autour de moi prêt.es à m’aider si j’en ai besoin: je ne suis pas seul.e.

—> Je visualise les utilisat.eu.rices ayant lancé l’alerte et je dispose de tous les outils pour communiquer avec iels, demander de l’aide et agir au plus vite.

—> Je peux, à tout moment, entrer en contact avec un.e utilisat.eu.rice proche de moi pour lui demander de l’aide, lui venir en aide, demander une information, un conseil, changer avec iel le temps de rentrer chez moi en toute sécurité.

 

4° Alerte:

—> Je suis victime ou témoin d’une agression en cours: j’active l’ALERTE (appui pendant deux secondes) pour demander de l’aide aux utilisat.eu.rices présent.es dans mon rayon d’alerte (bien le définir dans réglages).

—> Je n’ai pas de réseau: je lance l’ALERTE SONORE pour attirer l’attention sur moi et mettre en lumière l’agress.eur.se/ l’agression en cours.

—> je veux demander discrètement de l’aide: j’active le MESSAGE ÉCRAN.

—> Je contacte toujours les autorités compétentes via l’APPEL AUTORITÉ pour les tenir informées.

 

5° Notifications:

—> Je retrouve les dernières alertes déclenchées autour de moi( au cas où je rate un message de notification).

—> Je peux entrer en contact avec un.e utilisat.eu.trice pour lui apporter mon aide ou m‘assurer qu’iel n'est plus en danger.

—> À n’importe quel moment je peux recevoir une notification d’agression en cours (bien l’activer dans réglages), pour venir en aide:

  • Je la personne

  • Je tente (appel/chat) afin d'obtenir plus d'informations, la rassurer, la tenir informée de l’intervention en cours

  • Je demande de l’aide autour de moi (femmes/ hommes/ personnes non-binaires) en me rapprochant de la personne

  • Je tiens informées

  • Je tente je fais semblant de la connaître

  • Je peux activer pour attirer l’attention sur l’agresseur.se et ainsi mettre fin à l’agression

—> Quoi qu’il arrive j’agis au mieux sans JAMAIS me mettre en danger: je demande de l’aide aux FEMMES, HOMMES ET PERSONNES NON-BINAIRES qui m’entourent et je tiens TOUJOURS informées les autorités compétentes.

 

6° Recherche:

—> Je peux chercher et trouver autour de moi des utilisat.eu.rices aptes à répondre à des besoins et questions précises, avec qui je peux échanger en toute bienveillance, dès que j’en ai besoin pour avancer dans mes réflexions, projets et actions.

—> La fonction fil me permet d’affiner ma recherche.

 

7° Discussions:

—> Je retrouve l’ensemble de mes échanges et peux reprendre une discussion à tout moment.

 

8° MENU/ Centre d’assistance et amélioration continue:

Via le remplissage du formulaire en ligne:

—> je remonte l'ensemble des bugs rencontrés dans le cadre de la phase bêta-test afin que l'application soit la plus agréable, stable et efficace possible, pour tout.es.

—> Je contribue à l’amélioration continue de l’application en partageant mes réflexions, idées, questions, propositions de services, besoins, etc..

 

9° MENU/ Désinscription:

—> Je peux me désinscrire à tout moment en remplissant le formulaire prévu à cet effet (MENU, réglages et confidentialité).

 

10° Fil d’actus:

—> Cette fonction permet d'obtenir des recommandations, conseils et informations répondant à tes besoins et envies du moment.

  • MES RÉGLAGES

1° À quoi sert mon rayon d’alerte ?

 

Nous avons fait évoluer l'application afin que où que vous vous trouviez (même dans une zone peu habitée, loin de tout) vous ayez toujours à minima 50 personnes qui recevront votre alerte, sans limite de distance.

Votre rayon d'alerte ne change donc plus rien à l'utilisation de la fonction alerte. Nous l'avons laissé pour vous permettre de savoir, à titre indicatif, que X personnes sont autour de vous dans un rayon de X km.

Vous pouvez le modifier dans vos réglages puis visualiser le nombres de personnes dans ce périmètre sur l'écran d'alerte.

Quel que soit le rayon sélectionné, il y aura toujours les 50 premières personnes autour de vous, où que vous soyez, qui recevront une notification les alertant que vous êtes en danger et que vous avez besoin d'aide.

 

2° J’active ma géolocalisation et mes notifications

 

Nous avons pris l'habitude de nous méfier des applications et de desactiver ces fonctions pour plus d'efficacité et moins de suivi. Et ce sont de bons réflexes. En revanche, le fonctionnement de THE SORORITY est basé sur la bonne activation de ces fonctions.

 

Sans géolocalisation :

 

Votre position n'est plus calculée par rapport aux autres utilisat.eu.rices. L'alerte ne peut donc plus fonctionner pour envoyer ou recevoir des alertes. Si un.e utilisat.eu.rices est en danger dans la rue et que vous en êtes proche, iel ne pourra pas vous voir pour vous rejoindre rapidement. Inversement, vous ne verrez aucun.e utilisat.eu.rice sur votre carte si vous êtes vous-même en danger.

 

Sans notifications :

 

Vous ne recevrez aucune alerte si un.e utilisat.eu.rice la déclenche autour de vous. Vous ne recevrez aucun message ou contact si vous-même êtes en danger

Rappelons que les valeurs/la base de cette communauté est la bienveillance, l'entraide, la protection et le partage entre tou.te.s les personnes qui la constituent. Il s'agit de confiance, entre tou.te.s

Pour agir. Ensemble.

 

3° Je renseigne si possible mon numéro de téléphone

 

Afin d'être rapidement contacté;e dès que vous lancez l'alerte. Ou bien pour vous même pouvoir contacter un.e utilisat.eu.rice proche de vous pour lae rejoindre au plus vite (ex : si vous êtes suivi.e dans la rue).

Mais également en tant que témoin/personne recevant l'alerte : cela vous rassurera de pouvoir directement entrer en contact avec la personne en danger pour agir au plus vite, et pouvoir faire de votre mieux pour lui venir en aide rapidement.

 

NB:

Certaines personnes sont dans des situations où répondre ne sera pas possible (notamment dans le cas de Violences Conjugales), respectez le fait qu'elles ne décrochent pas.

Échangez avec elles par le chat pour obtenir un maximum d'informations et contactez les autorités pour elles uniquement si elles le demandent. Respectez leurs choix et ne les mettez pas davantage en danger. Soyez à l'écoute et présente pour elles.

 

Si elles vous disent que tout est OK : n'hésitez pas à leur réécrire quelques jours plus tard. Pour prendre des nouvelles.

 

4° Mettez à jour votre app et le système d’exploitation de votre téléphone.

 

De nombreux bugs sont causés par le fait que votre téléphone ou votre application ne sont pas à jour.

Pensez à faire ces mises à jour régulièrement pour le bon fonctionnement de toutes vos applications de façon générale.

 

5° Recevoir toutes mes pushs notifs sur android

 

Un bug possible pour les Android est la non réception des push notifs. C'est un problème récurrent pour toutes les applications.

On espère un jour qu'Android le règlera définitivement mais d'ici là, voilà ce qu'il est possible de faire (fonctionne pour toutes vos app) :

 

• Dans vos réglages, sélectionnez l'application et désactivez l'optimisation de la batterie. Vous recevrez alors de nouveau toutes vos alertes.

Le chemin pour y accéder varie selon les modèles de téléphones donc regardez sur internet pour votre modèle spécifique comment y accéder (n'hésitez pas à nous écrire en MP si besoin d'aide)

  • SAVOIR QUOI FAIRE

  • Vous êtes victime d’une agression en cours:

 

—>Pensez à faire régulièrement les mises à jour de votre application et de votre téléphone. Et activez bien votre GPS et vos notifications dans l'application : son fonctionnement repose sur le calcul en temps réel des personnes autour de vous. En situation de danger : où que vous soyez, l'alerte sera toujours lancée aux 50 premières personnes autour de vous.

Sans limitation géographique.

 

—> Lancez l'ALERTE en appuyant 2 sec sur le logo dédié dans l'écran d'ALERTE (bouton d'accès en bas à droite).

 

—> Répondez au CHAT et aux appels (renseignez bien votre

numéro de téléphone pour être contactée au plus vite) si vous le pouvez, en communiquant le maximum d'informations possibles (danger immédiat, localisation précise (visible sur la MAP), adresse, code d'accès, étage, numéro d'appartement, nombre de personnes présentes au domicile, etc.

 

NB :

Ce que nous entreprenons met en état de stress. Ceci est normal. Nous n'avons jamais été habitué.e.s à (ré)agir. C'est la raison pour laquelle des entraînements mensuels sont organisés (suivez nos posts).

Lorsque vous serez amenée à lancer l'alarme : Pensez à celleux qui vous écrivent et sont frustré.e.s/angoissé.e.s de ne pas avoir immédiatement votre réponse, alors qu'ils se tiennent prêt.e.s à agir pour vous. On le répète : pour une efficacité optimale et une réduction de ce stress, pour tou.te.s :

 

1. Renseignez votre numéro de téléphone si possible (pour un appel rapide qui peut dissuader en pleine agression).

 

2. Répondez aux premières personnes qui vous contactent pour trouver une aide et une solution de mise en sécurité immédiate. Une fois en sécurité, prenez le temps de répondre à toutes les personnes qui vous ont contactée et à qui vous n'auriez pas eu le temps de répondre sur l'instant. Pour les rassurer, les tenir informée.s et les remercier d'être là.

 

—> Contactez les autorités si vous le pouvez et le souhaitez via les

NUMÉROS UTILES dans l'écran d'ALERTE (ou demandez à une utilisat.eu.rice de le faire pour vous via le CHAT) :

 

• le 17 (police : en cas de danger immédiat),

• le 3117 (sécurité RATP / SNCF),

• le 119 (enfant en danger),

• le 114 (numéro d'alerte par SMS),

• le 3919 (femmes victimes de VC), etc.

 

—> Regardez la MAP et tentez de vous rapprocher d'une utilisat.eu.rice proche de vous. Tentez d'entrer directement en contact avec iel (appelez si son numéro est renseigné).

Continuez de bouger. Soyez occupé.e. Contactez les autorités si vous le pouvez et le souhaitez via les NUMÉROS UTILES dans l'écran d'ALERTE (ou demandez à un.e utilisat.eu.rice de le faire pour vous via le CHAT).

 

—> Fixez du regard une personne qui vous voit.

Demandez-lui directement de l'aide (lire nos posts dans l'application intitulés «POURQUOI PERSONNE NE BOUGE ?» et «QUOI FAIRE ?» sur l'effet témoin).

 

N'hésitez pas à interpeller, pointer du doigt, crier, attirer l'attention sur vous : Un agresseur ne souhaite pas être mis en lumière (lire «COMMENT RÉAGIR ?» et «COMMENT AGIR ?»).

Adoptez un comportement auquel il ne s'attend pas. (lire «POURQUOI CE STRESS ?» dans l'application, sur l'effet de sidération).

 

 

  • Vous êtes témoin d’une agression en cours, vous avez reçu une notification d'alerte ou un message de demande d’aide.

 

L'idée est d'agir. Sur l'instant. Avant qu'il ne soit trop tard. Pour tou.te.s. Sans jamais se mettre en danger. Dès qu'on le peut.

Nous sommes de plus en plus nombreu.x.ses sur cette application.

Ensemble et uni.e.s, petit à petit, en nous entraînant, nous allons y arriver. Nous ne sommes plus seul.e.s.

 

—> Vous recevez un message d'alerte : Géolocalisez la personne via la MAP et tentez d'entrer en contact avec elle via le CHAT pour récupérer un maximum d'informations (appel possible si elle a renseigné son numéro et qu'elle est en capacité de répondre).

 

Allez à l'essentiel au plus vite : danger immédiat, adresse, code d'accès, étage, numéro d'appartement, nombre de personnes présentes au domicile, etc.

 

 Si elle ne vous répond pas : ne paniquez pas. Elle a peut-être reçu trop de messages. Ou est en incapacité de répondre de suite. Il est aussi possible que ce soit une fausse alerte.

Pour vérifier : RDV sur la MAP et regardez si le pin de la personne est toujours en rouge ou s' il est revenu à sa couleur normale. S’il est toujours en rouge : Contactez les utilisat.eu.rices autour de la personne pour savoir si iels ont réussi à entrer en contact avec elle et ont des nouvelles.

 

 Organisez-vous : Échangez avec les utilisat.eu.rice.s autour de la personne en danger pour vous retrouver si vous le pouvez.

Demandez de l'aide sur votre chemin et dirigez-vous vers l'utilisat.eu.rice en alerte. N'y allez jamais seul.e. Ne vous mettez jamais en danger. L'agresseur ne s'attend pas à ce que vous arriviez. Le simple fait d'être dérangé peut mettre un terme à l'agression. Faites semblant de connaître la personne, vous avez sa position géographique, son prénom et sa photo de profil, si elle l'a mis, pour l'identifier au plus vite.

 

 

  • Aucune alerte n'a été lancée mais une agression se passe devant vous :

 

Lancez vous-même l'ALERTE sur l'application et échangez avec les utilisatreu.ice.s prenant contact avec vous pour qu'elles puissent agir à vos côtés.

~ Appelez les autorités : via la fonction ALERTE, selon le danger et si la personne en danger vous le demande (bien lui demander et respecter sa volonté dans le cas de violences conjugales), retrouvez les numéros d'urgence et d'aide dans NUMÉROS UTILES.

 

Selon l'urgence de la situation :

 

• le 17 (police : en cas de danger immédiat),

• le 3117 (Sécurité RATP / SNCF),

• le 119 (enfant en danger),

• le 114 (numéro d'alerte par SMS),

• le 3919 (femmes victimes de VC), etc.

Communiquez l'ensemble des informations récupérées.

 

Quoi qu'il arrive : restez en contact avec l'utilisat.eu.rice via le

CHAT (appel possible si iel a renseigné son numéro et est en capacité de répondre) autant que possible et tenez informées les autorités.

 

—> En cas de violences conjugales à domicile (voisin.e.s):

 

Demandez de l'aide à vos voisin.e.s, et allez taper à la porte de votre voisin.e en danger.

Tentez d'entrer en contact : cela déstabilisera son agresseur : de façon indirecte (demande d'information, de dépannage, etc.) ou directe (vous avez contacté les autorités et les tenez informées).

Restez attentive.f à tous les bruits et faits, demandez régulièrement des nouvelles via le CHAT ou en direct à votre voisin.e.

Faites-vous aider par d'autres voisin.e.s bienveillant.e.s.

—>Contactez le 3919 pour être soutenu.e et guidé.e au mieux.

 

NE VOUS METTEZ JAMAIS EN DANGER.

L'objectif est de mettre fin à l'agression.

Le plus vite possible.

Avant que les faits ne soient commis.

Avant qu'il ne soit trop tard.

  • LIEUX SÛRES POUR SE RÉFUGIER

Nous sommes heureux.ses et fièr.e.s d'avancer aux côtés d'associations engagées.

Le travail est immense.

Les heures ne sont pas comptées.

Mais l'envie d'aider. D'améliorer. De faire bouger les choses est plus forte.

 

Nous travaillons avec l’association @unabriquisauvedesvies (sur instagram), spécialisée dans la constitution d'un réseau bienveillant d'abritant.e.s ayant pour but d'assurer la protection des victimes de violences conjugales et intra-familiales.

 

En écoutant leurs besoins, nous avons pensé et développé une nouvelle fonctionnalité sur l'application permettant de trouver rapidement, partout en France - et dans le monde - des personnes prêtes à accueillir ou mettre à disposition leur logement en cas de besoin.

 

Nous vous laissons découvrir cette fonctionnalité sur l'app: toutes les personnes proposant un lieu sûr pour fuir (à préciser dans votre profil) ont à présent des cheveux roses sur la map

Vous pouvez vous-même à présent aider un.e de vos proches, ami.e.s, ou membre de votre famille pour trouver un lieu sûr pour fuir au plus vite en cas de besoin.

Même si la personne n'est pas utilisat.eu.rice.s de l'app.

 

• Pour rappel, la fonction principale pour trouver au plus vite un lieu sûr proche de vous :

Recherche > J'ai besoin d'aide > Lieu sûr

 

THE SORORITY grandit au fur et à mesure.

Elle devient dans les mains de chacun.e un outil du

quotidien super puissant d'entraide bienveillante.

Une véritable communauté vivante.

En ligne. Prête à agir dans la vraie vie.

Pour le bien-être et la sécurité de tou.te.s.

Elle est notre outil. À tou.te.s.

  • VIOLENCES

Violences conjugales: en 2023, on y met fin.

Ensemble.

En agissant tou.te.s.

A notre niveau.

 

Laisser faire : C'est y contribuer.

Nous sommes tou.te.s légitimes pour agir.

THE SORORITY permet de nous unir. Et de nous enclencher.

Le reste est entre nos mains.

 

—> DÉCOUVREZ NOTRE FONCTIONNALITÉ À PRÉSENT DISPONIBLE POUR Y ARRIVER:

 

1/ Téléchargez la dernière version de l'application (THE SORORITY) sur votre STORE

 

2/ Mettez à jour votre PROFIL : Je propose/je recherche de l'aide/du soutien/une écoute lié aux VC et/ou un lieu sûr pour fuir

 

3| Allez dans la RECHERCHE : Je recherche ou propose proactivement mon aide et/ou un lieu sûr pour fuir : Je deviens acteur.ice et je décide de faire de mon mieux pour contribuer et faire changer les choses.

 

4/ Si vous vous dites : Je ne me sens pas légitime ou pas prêt.e pour proposer mon aide sur les VC ou ne dispose pas de lieu sûr pour accueillir :

Je parle de cet outil un maximum autour de moi pour que l'information finisse par atteindre les bonnes personnes : celleux qui pourront aider et celleux au attendent cette aide. Dès que je le peux. Je fais de mon mieux. Je suis acti.f.ve.

 

—> Une piste efficace d'action :

Contactez des personnalités et comptes suivis et engagés sur les réseaux.

Partagez ce document. Parlez-en avec vos mots, avec vos convictions, avec votre cœur.

Utilisez vos réseaux pour agir significativement et positivement.

 

5/ Pour agir en dehors des réseaux : Je peux télécharger sur le site www.jointhesorority.com les affiches et les proposer dans mes commerces, ma mairie, mon école, à mon bureau, dans mon immeuble, dans mon quartier.

 Plus nous serons nombreu.x. ses à nous mobiliser, à en parler et à agir, plus de personnes pourront se mettre en lien et proposer leur aide/sortir de ces situations.

 

Le silence et l'inaction nous tuent.

Se mettre en action nous sauvera. Tou.te.s.

  • EN PARLER AUTOUR DE MOI

Découvrez en première page de notre site www.jointhesororotv.com les affiches THE SORORITY téléchargeables (format classique ou imprimeur) à imprimer, à partager, à distribuer et à afficher à volonté - en demandant toujours l'accord de la personne en charge des lieux - chez vos commerçant.e.s, chez vos médecins/ accompagnant.e.s, dans vos pharmacies, dans vos bureaux, vos restaurants, dans vos écoles, vos mairies, vos associations, vos institutions, partout où vous pensez que nous pourrons aider un maximum de personnes

 

L'utilisation est simplifiée : il suffit à la personne de placer l'appareil photo de son téléphone devant leQR code. Cela lui donnera immédiatement accès à l'application sur son store (Android et iOs).

  • FAQ

AGIR AU MIEUX EN CAS D'ALERTE, D'AGRESSION OU DE MENACE :

  • POURQUOI CE STRESS

L'EFFET DE SIDÉRATION C'EST QUOI?

Pourquoi en cas d'attaque on ne se défend pas?

 

Parce qu'un mécanisme de défense, de survie, inconscient s'est déclenché en nous. Présent chez nous Tou.te.s.

Cela s'appelle l'Effet ou Etat de Sidération, conséquence directe de la Stratégie du Choc, employée par l'agresseur.

 

—>Comment fonctionne-t-il?

 

On parle alors de traumatisme psychique : « Un traumatisme psychique est un événement qui, par sa violence et sa soudaineté, entraîne un afflux d'excitation suffisant à mettre en échec les mécanismes de défense habituellement efficaces. (.) Elle agit comme un arrêt du temps qui fige la personne dans une blessure psychologique traumatique, au point que les émotions semblent pratiquement absentes. (...)

La sidération est un blocage total qui protège de la souffrance en s'en distanciant.

La sidération est à l'origine d'un état de stress intense qui peut durer plusieurs heures, et va se manifester par cet état de sidération anxieuse. La verbalisation est difficile. On observe un comportement de repli sur soi avec parfois des pleurs, de l'angoisse, des tremblements, voire des vomissements. Une culpabilité omniprésente, avec une impression de souillure, et un sentiment de honte. »

Source : CVP CONTRE LA VIOLENCE  www.cvpcontrelaviolencepsychologique.com -Anne-Laure BUFFET-

 

Les effets ressentis par cet état sont multiples, nous les connaissons Tout.e.s:

 

-« Accélération du rythme cardiaque (peur malaise, crainte, honte, impuissance, frustration, etc.);

-Rougissement (chez certain.e.s : ajoutant du malaise au malaise); blocage momentané de toute expression (effet de sidération);

-Bafouillage, bredouillage, confusion momentanée; réponse en attaque pour les plus réactifs émotifs.

L'Effet de Sidération est un état recherché par l'attaquant : il fige la personne ciblée pendant quelques secondes, ce qui lui laisse le champ libre, pendant ce laps de temps : d'imposer une idée, une position, une action, un contact ou un choix non souhaité par la personne visée.

On parle d'anéantissement du fonctionnement normal du cerveau soumis à un ou des chocs violents. »

Source : L'art de la Répartie - Séverine DENIS

 

—> Si vous souhaitez creuser le sujet plus généralement, afin de mieux comprendre la puissance de la sidération comme instrument de manipulation (que le choc soit d'origine naturelle ou artificielle), afin de l'appréhender, le comprendre et le contourner : nous vous conseillons de lire « La Stratégie du Choc » de Naomi Klein.

  • COMMENT RÉAGIR ?

EN CAS D'AGRESSION: METTRE EN LUMIÈRE L'AGRESSEUR

 

Paradoxalement : les agresseurs, capables de réaliser des actes violents, destructeurs, ciblés, précis, issus d'une stratégie finement élaborée, ou pas, sont complètement terrassés face à l'idée d'être au centre de l'attention.

Pire encore, si des regards insistants se posent sur eux au moment même des faits, en pleine agression.

Une façon d'échapper à une agression, d'agir sur l'instant, avant que les choses empirent, serait de provoquer une réaction forte à laquelle l'agresseur ne s'attend pas. Qui le déstabiliserait et le mettrait en situation d'inconfort. Lui enlevant toute envie de poursuivre, et provoquant idéalement sa fuite.

 

Diverses façons de procéder existent (voir le très bon guide réalisé à cet effet  : « NON c'est NON - Petit manuel d'autodéfense à l'usage de toutes les femmes qui en ont marre de se faire emmerder sans rien dire » d'Irene Zeilinger #noncestnon.

 

Voici une liste des réactions que nous avons retenues et expérimentées autant que possible sur le terrain :

 

—>En cas d'agression :

 

1/ Garder en tête que les agresseurs sont avant tout humains : leur passé peut être rempli de violences et d'insécurités (rejets, humiliations, maltraitances, etc.).Ils ont peu confiance en eux, sont stressés, parfois paradoxalement timides, ne veulent pas attirer l'attention au moment des faits.

2| L'effet de surprise/sidération (voir précédents posts) marche aussi bien sur la victime au moment d'être agressée que sur l'agresseur. Face à une réaction « anormale » de la victime (comportement imprévu de la victime : incohérence dans ses propos et gestes dans une situation d'agression, réaction hystérique, gênante suscitant l'incompréhension générale): cela poussera l'agresseur à devoir réfléchir et finalement à prendre la fuite face à une situation/pression/ réflexion imprévue.

3/ L'effet témoin doit être immédiatement anéanti en demandant de l'aide de façon ciblée, claire, directe et insistante à un nombre limité de témoins.

 

La pression sociale, les regards insistants qui se poseront sur eux, les obligeront à agir, à demander de l'aide, à intervenir, sans jamais se mettre en danger: le reste des spectateurs suivront.

 

Nous sommes tous humains. Ce qui nous dessert sans maîtrise peut également nous sauver si nous sommes prêts à y faire face.

  • COMMENT AGIR ?

N'avez-vous jamais eu l'impression d'être observé.e? Suivi.e? Vous sentiez que « c'était pour vous » et oui... il y a bien quelqu'un. Un regard, deux regards, cette personne est maintenant derrière vous.Vous ne savez pas pourquoi. Vous aviez un doute.. mais plus vous avancez plus cela se confirme.. qu'est-ce qu'il/elle me veut? Que faire? Accélérer? Appeler quelqu'un?

 

Mieux: faites quelque chose d'imprévu

 

Faites un tour sur notre post intitulé « L'EFFET DE SIDERATION C'EST QUOI? » et devenez maître.sse de la situation  en toute subtilité.

 

—>Comment?

En cassant ce qui est en train de se produire, en créant une situation/un schéma inattendu dans la tête de cette personne.

 

—>Le résultat :

 

Il/elle va devoir réfléchir à ce qui se passe et ce contretemps/ battement fera disparaître ce qui aurait pu se produire. Vous continuerez votre chemin. En toute tranquillité.

 

—>Mais comment concrètement? :

 

—>Vous êtes en mouvement:

Arrêtez vous net. Faites semblant de regarder quelque chose sur votre téléphone, cherchez quelque chose dans vos poches. Juste occupez-vous d'un coup pour stopper ce mouvement et laisser/obliger la personne à passer devant vous. Dès qu'elle arrivera dans votre champ de vision : tout sera désamorcé. Emboîtez-lui le pas tranquillement comme si de rien n'était.

 

—>Vous êtes à l'arrêt :

Ne fuyez pas. Redressez vous. Regardez-la droit dans les yeux si la personne vous scrute  Sans aucun sentiment. Faites comme si vous aviez autre chose en tête. Vous la regardez directement mais de façon détachée. Elle s'attend à ce que vous soyez intimidé.e. Ne le soyez pas. Vous êtes là et rien ne va se passer.

 

Personne n'a envie d'être confronté à une personne sûre d'elle. Plus vous fuyez, plus l'étau se refermera sur vous et vous attirerez ce type de profil malveillant.

 

À chaque situation une solution. Le plus important: prenez le dessus, sans jamais vous mettre en danger..

Observez, regardez autour de vous, posez vous la question : Qu'est ce qui serait complètement improbable et inattendu là, tout de suite, maintenant?

Et allez-y: c'est cette déstabilisation qui vous aidera. Ce sera votre « coup » d'avance.

À vous de jouer!

  • POURQUOI PERSONNE NE BOUGE ?

L'EFFET TEMOIN. C'EST QUOI?!

 

« Il est très courant que nous entendions parler de situations d'urgence dans lesquelles une victime est engagée et où, malgré de nombreux témoins, personne ne réagisse.

 

Cette apathie est due à un phénomène psycho-social nommé «effet spectateur», «effet du témoin», ou encore «bystander effect». Il stipule que le comportement d'aide naturel de l'humain se trouve inhibé si d'autres personnes sont présentes.

 

Ainsi, en situation d'urgence, un témoin seul interviendra plus facilement que s'il y a d'autres personnes : la probabilité qu'une personne apporte son aide est ainsi inversement proportionnelle au nombre de témoins présents

 

Paradoxalement, si le fait d'apporter son aide a toujours été un comportement valorisé socialement, la présence de spectateurs exerce une pression telle que le comportement d'aide est inhibé. Ceci serait dû au processus de diffusion de la responsabilité, mais aussi à l'influence sociale et à l'appréhension du jugement. »

Source : « Pourquoi personne n'a empêché cette agression ? Comprendre l'effet spectateur » - Site: www.psychologue.net

 

Donc plus nous sommes nombreux à être témoin d'une agression, moins nous allons agir et porter assistance à la personne agressée. Du fait de processus et mécanismes "logiques" de notre cerveau. Expérimentés par Tous. Et pourtant parfaitement illogiques lorsque l'on en prend conscience

 

Intéressant de le savoir.

Ne restons plus passifs et passives. N'ayons plus peur. N'ayons pas honte.

Osons.

 

Entraidons-nous les uns les autres. Pour le bien de Tou.te.s.

  • QUOI FAIRE ?

L'EFFET TÉMOIN (suite): ON AGIT.

 

Il est donc prouvé (voir expérimentations de John Darley et Bibb Latane de 1968) que plus le nombre de sujets présents est important, moins on agit.

 

—>Pourquoi ?

 

1/ L'influence sociale qui pousse les témoins d'une situation d'urgence à surveiller l'attitude des autres, pour voir s'ils pensent qu'il faut intervenir. Comme tout le monde fait la même chose, chacun déduit de l'inaction générale qu'une aide n'est pas nécessaire.

2/ Le phénomène de diffusion de la responsabilité : les témoins supposent tous que quelqu'un d'autre va agir, par exemple quelqu'un de plus qualifié, et leur responsabilité s'atténue proportionnellement au nombre de gens présents;

Sources : http://www.axolot.info/?p=156 : « Le syndrome du spectateur ».

 

—> A lire également sur : www.slate.fr@slatefrance : "Pourquoi les témoins d'agression n'interviennent-ils pas (toujours)?

 

—>Article sur www.kmkc3.com@kmkc3: "L'effet témoin ou effet spectateur".

 

Maintenant qu'on le sait et qu'on l'a bien en tête : Agissons. Ensemble.

 

MAIS GARDEZ EN TÊTE EN SITUATION D'URGENCE :

Si un jour vous avez besoin d'aide au milieu d'une foule : N'appelez pas « globalement » au secours:

Choisissez une personne, et demandez-lui directement de vous aider. En la regardant droit dans les yeux, avec insistance.

Ainsi. vous empêchez la responsabilité de se diffuser, et vous contrez un des effets psychologiques les plus pervers qui soient…

 

En tant que témoin d'une agression ou d'un accident, rappelez-vous de ce mécanisme psychique improbable : agissez sans attendre l'approbation de qui que ce soit, Demandez de l'aide si besoin autour de vous afin de vous protéger également.

 

Et accessoirement, rappelons que la non-assistance à personne en danger engage la responsabilité de chacun.

 

Entourons-nous.

Protégeons-nous.

Agissons.

Ensemble.

Maintenant.

  • QUOI DIRE ?

Peu importe que les mots soient difficiles à entendre. Peu importe ce qu'ils remettent en cause. Peu importe ce qu'ils impliquent. Ils ont été encore plus difficiles à prononcer. Ils symbolisent des actes, des traumatismes, un long parcours pour arriver jusqu'à vous.

 

Lorsque quelqu'une personne vient se confier à nous, à ce moment précis, gardons en tête :

Ce qui compte, ce qui doit compter par-dessus tout : c'est l'Humain.

Pas les apparences. Pas les on-dit. Pas ce qu'on s'invente dans nos têtes, notre pseudo statut social, notre image, notre égo, etc.

 

Toutes ces choses nous polluent, nous déshumanisent.

Elles peuvent faire encore plus mal que les coups, les mots, les actes dénoncés.

 

Au final, nous sommes tous dans la même barque. Et on s'en sortira. Ensemble

 

« Je te vois. Je t'entends. Je te crois. Ce n'est pas de ta faute. Il n'avait pas le droit. C'est la loi. Je te fais confiance. Et on peut t'aider. ».

 

À répéter, à intégrer, à ne jamais oublier.

Cela n'arrive pas que chez les autres. Chez vous, dans la rue, au bureau. Partout.

Soyons présents. Soyons là les un.e.s pour les autres. À tout moment. Car il n'y a jamais de bon moment.

La différence sera énorme.

 

Femmes,hommes, ou personnes non binaires. Écoutez-les. Écoutez-nous.

Croyons-nous. Protégeons-nous. Ne détournons plus le regard.

Plus tard, ce sera trop tard.

  • CONTACT AUTORITÉS

Parce que pour agir vite, il faut avoir les bonnes informations au bon moment.

 

Vous trouverez ci-dessous l'ensemble des numéros utiles à contacter selon les situations rencontrées, en tant que victimes ou que témoins.

Nous les avons intégrés à notre application en accès direct afin de ne pas perdre de temps. Et d'agir de façon rapide et efficace

 

—> Le 3919 - Violences Femmes Info :

Destiné aux femmes victimes de violences, ainsi qu'à leur entourage et aux professionnels concernés.

C'est un numéro d'écoute national et anonyme.

 

—> Le 3117 : Numéro mis à disposition par le réseau transilien/SNCF si vous êtes témoin d'une situation qui présente un risque pour votre sécurité ou celle des autres voyageurs

 

—>  Le 15 : Vous permet de joindre le SAMU, le service d'aide médicale urgente (en cas de détresse vitale : malaise, coma, hémorragie, etc.)

 

—> Le 17 : Vous permet de joindre la Police (en cas de situation de danger - en tant que victime ou témoin : violences, agressions, menaces, etc.)

 

—> Le 18 : Vous permet de joindre les Pompiers (en cas de situation de péril ou d'accident : incendie, accident de la route, etc.)

 

—> Le 112 : Numéro d'urgence européen. Il est valable dans toute la C.E.E. La particularité de ce numéro consiste en son absence de spécificité : il concerne toutes les urgences (médicales, incendies, police, etc.)

 

—> Le 114 : Numéro d'Urgence pour les Sourds et Malentendants. Toute personne sourde ou malentendante, victime ou témoin d'une situation d'urgence nécessitant l'intervention des services de secours peut échanger avec le 114 par SMS.

 

—> Le 119 - Allô Enfance Maltraitée : Pour tous les enfants, et témoins de violences sur mineurs, en situation de danger immédiat ou non, pour aider à dépister ce type de situations, à transmettre tous types d'informations préoccupantes auprès des services compétents, à assurer et à faciliter la protection des mineurs en danger.

 

—> Le 0800059595 - Viols Femmes Informations : Ligne d'écoute gratuite et anonyme pour les victimes de viols et d'agressions sexuelles.

Retrouvez le détail de ces numéros et services sur le site du @gouvernementfr :

https://stop-violences-femmes.gouv.fr/Les-numeros-d-urgence

  • LOIS ET SANCTIONS 1

A BON ENTENDEUR.

 

Un métro un peu trop blindé? Une main baladeuse? Un frotteur?

Dès le premier Contact Physique Volontaire : Il s'agit d'une AGRESSION SEXUELLE.

 

On a souvent le doute, et on ose rarement (ré) agir. Savoir réellement ce qu'il en est et rappeler qu'il y a des lois qui punissent ce type de comportements fait du bien à Tout le Monde : pour la victime qui, confiante, va pouvoir le rappeler distinctement à l'agresseur. Et pour l'agresseur, qui manifestement n'avait pas ces informations en tête avant de passer à l'action.

 

Alors pour TOUTES et TOUS, sachez que :

 

—> L'agression sexuelle est définie comme: « Toute atteinte sexuelle commise avec violence, contrainte, menace ou surprise ». (L'article 222-22 du code pénal).

 

—> L'agression sexuelle est punie de 75 000€ d'AMENDE et de 5 ANS DE PRISON. (L'article 222-27 du code pénal)

 

Plusieurs circonstances aggravantes à avoir en tête :

 

Si la victime est mineure, si les auteurs des faits sont plusieurs, si la victime est particulièrement vulnérable du fait de son état : la peine passe à 7 ANS D'EMPRISONNEMENT. (L'article 222-28 du même code)

 

Alors la prochaine fois : Quand on a un doute, il n'y a plus de doute. On prend son courage, on s'entraîne s'il le faut, et on y va!

Pour nous TOUTES et TOUS.  « Pour la personne qui est en train de me tripoter, à titre informatif, c'est 75 000€ d'amende et 5 ans de prison. C'est écrit dans le code pénal. Merci !"

 

« Que peut-il se passer si je prends la parole - En public - dans un métro blindé ?! »

 

- Dans le pire des cas : Les passagers autour de vous auront l'information et y seront plus sensibles à l'avenir. Ils pourront même avoir le courage de la diffuser à leur tour, à chaque fois que la situation se représentera. Mais également la diffuser auprès de leurs proches, pour les aider à se protéger et à (ré)agir.

- Dans tous les cas : L'agresseur cessera immédiatement ses agissements et gardera bien en tête ces informations. Pour qu'il n'y ait plus de prochaine fois.

 

Nous n'avons rien à perdre. Tout à gagner.

Nous n'avons pas peur. Agissons.

  • LOIS ET SANCTIONS 2

Cette section est en complément d'un premier intitulé « A BON ENTENDEUR » (Celle située juste au dessus)

 

Afin d'être le plus prêt e possible à faire face à tout type d'agression, il est important, voir primordial, de bien être au fait de ce qui est juste ou non, bien ou mal, légal ou pas.

 

Pour cela, au-delà des considérations éthiques, émotionnelles, sociales, etc, il y a la loi.

C'est simple, c'est écrit. C'est acté. C'est ainsi.

 

Parce que qu'en cas de doute : il n'y a plus de doute, nous vous invitons à prendre le temps de faire un tour sur la rubrique dédiée sur le site du gouvernement : www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/: @gouvernementfr (sur instagram)Les explications sont claires et faciles à retenir.

 

Le but étant de les avoir en tête au moment où les faits se produisent, et d’immédiatement les énoncer à haute voix, afin de déstabiliser l'agresseur. Personne ne s'attend à se faire énoncer les peines encourues pour ce qu'il est en train de commettre.

 

Il y a des lois. C'est important de le rappeler.

 

Que le système juridique fonctionne correctement, rapidement, de manière juste ou pas. Il y a des lois.

 

Voici les catégories que nous vous invitons à consulter - voir les définitions précises :

 

 - Outrage sexiste ou sexuel (jusqu'à 750€

d'amende)

- Injure publique (jusqu'à 12 000€ d'amende)

- Harcèlement moral (au travail) (jusqu'à 2 ans de prison et 30 000€ d'amende)

- Harcèlement sexuel (jusqu'à 3 ans de prison et 45 000€ d'amende selon les cas)

- Discrimination (au travail) (jusqu'à 3 ans de prison et 45 000€ d'amende selon les cas)

- Harcèlement en ligne (jusqu'à 3 ans de prison et 45 000€ d'amende selon les cas)

- Agression et violences sexuelles (jusqu'à 7 ans de prison et 100 000€ d'amende selon les cas)

- Viol (jusqu'à 20 ans de prison selon les cas)

- Violences conjugales - physique et/ou psychologiques (jusqu'à 30 ans de prison en cas de violences répétées, en cas de meurtre ou tentative de meurtre : prison à perpétuité)

- Coups et blessures (de 3 ans de prison et 45 000 d'amende en cas d'incapacité de travail > 8 jours de la victime, jusqu'à 15 ans de prison pour homicide involontaire)

- Meurtre (30 ans de prison)

 

Il est important d'être informé.e pour savoir/pouvoir se protéger. La connaissance donne la confiance qui nous permet d'agir. Cela ne fait pas tout.

Mais cela aide. Beaucoup

VIVRE MIEUX, TRAVAILLER SON BIEN-ÊTRE, ENTREPRENDRE ET AVANCER, ENSEMBLE :

  • ATTAQUES VERBALES

FAISONS FACE ENSEMBLE AUX ATTAQUES VERBALES:

 

Au bureau, dans la rue, chez vous. Partout. Une remarque déplacée? Sexiste ou pas. Une attaque verbale. Sur votre physique. Vos vêtements. Vos paroles. Un projet. Un fait. Sur n'importe quoi. Par un homme ou une femme.

Vous sentez l'activation de ce fameux effet de sidération (voir post dédié) qui commence à lentement monter en vous. Un sentiment de honte, de gêne, de chaleur, de stress s'installe petit à petit. Cette réaction de votre corps est normale. Nous l'avons vu. Elle est dictée par notre cerveau.

 

En revanche, l'attaque, la réflexion subie, elle, ne l'est pas. Aujourd'hui nous allons apprendre à y faire face, à la dompter et à en jouer.

Ensemble.

 

—>Premier point :

Ces remarques peuvent venir d'un homme, mais également d'une femme, voire d’une personne non-binaire.

Dans ce cas, la remarque/l'effet en est d'autant plus blessant.e.

 

Une fois la bombe lancée, vous allez sentir des regards insistants se poser sur vous si d'autres personnes l'ont entendue. On attend votre réaction. Pire, d'autres vont sûrement naïvement ricaner. Parce que cela les rassure de suivre un mouvement. Mais au fond ils vont attendre sagement que quelque chose se passe. De voir ce que vous allez faire.

 

C'est à ce moment-là que vous avez toutes vos cartes à jouer. Pour ne plus jamais subir. Et inverser à votre tour la tendance. Voici une proposition de réaction, à adapter et adopter selon ce qui vous convient. À vous :

 

1/ Placez vous dans une position confortable pour vous si vous êtes assis.e. restez immobile si vous êtes debout. Ne faites pas un pas de plus.

2| Fixez l'attaquant.e droit dans les yeux.

3/ Respirez calmement (il existe un nombre infini de techniques de respiration pour faire redescendre le stress : checkez du côté de @petitbambou_fr (sur instagram).  Concentrez vous sur votre souffle. N'avez aucune expression sur votre visage ou dans votre regard. Juste soyez là et fixez.

3bis/ Un petit sourire au coin des lèvres vous aidera à maintenir la position et va accroître le mal-être de votre interlocuteur/trice.

4/ Dans votre tête il ne se passe rien.

Vous pouvez même commencer à penser à autre chose. Vos prochaines vacances. Votre prochaine soirée. Ce qui vous fait du bien.

5/ Restez comme cela aussi longtemps que vous le souhaitez. Bien fixée et de plus en plus détendu.e. Respirez. Sans lâcher du regard. Sans haine. Décrispez votre visage. Soyez calme. Presque Bienveillant.e dans votre regard. Dans un silence complet.

6/ Puis quand vous êtes prêt.e. Que vous estimez que c'est bon pour vous. Reprenez ce que vous étiez en train de faire. Comme si cette remarque n'avait jamais eu aucune importance pour qui que ce soit. Ne soyez surtout pas le premier à reparler de cet épisode.

Laissez faire.

7| Chez vous, au calme : Félicitez-vous.

Revivez la scène. Partagez-là avec vos proches. Vous pouvez être fière de vous. Vous avez fait un grand pas. Et ce n'est que le premier d'un long chemin.

Bravo.

 

A force de pratiquer vous gagnerez en confiance et prendrez du plaisir à faire face à ce genre de situations. Soyez-y préparé.e.s. Jouez avec. Prenez l'avantage.

 

Et n'oubliez pas : La personne en face ne s'attend absolument pas à ce que vous êtes en train de faire. La pire de ses angoisses à ce moment précis : c'est votre silence. Votre non-réaction. Votre présence. Pure. Et ce sourire Bienveillant. Vous êtes au-dessus. Vous le savez.

 

En tant que témoin, adoptez la même attitude vis-à-vis de l'attaquant.e. Ne rigolez pas. Adoptez la même position.

 

L'effet en sera décuplé. Soutenons-nous.

Ensemble.

  • REMARQUES SEXISTES

« Ohhh ça va, c'était pour rigoler. »

« Détend-toi. »

« T'as pas d'humour. »

« Fais pas ton hystérique c'est bon! »

« Si on ne peut plus rien dire. »

« Toutes façons avec tous ces trucs féministes c'est n'importe quoi. On ne peut plus rien dire ni faire. »

« J'aimerais bien un café.. »

« Vous comptez avoir des enfants sous peu ? Pour être sûr.e que vous soyez bien là au prochain comité. »

« On voit le client demain, ça serait pas mal de sortir le tailleur. »

« Ça va on rigole un peu, rien de méchant hein! »

« T'es tendue. T'as tes règles ou quoi ?! »

« Encore une qui aurait bien besoin d'un coup de

b*te »

« Laisse tomber ça doit être les hormones »

« Pas trop dur de bosser avec une collègue enceinte? »

« Non mais moi je ne suis pas comme ça, je dis juste que ... »

« Ah elle rougit! J'adoooore »

 

C'est bon? Cela vous parle? Tou.te.s?

On le voit le problème?

 

—> Quand cela arrive :

 

- On respire profondément

- On ne dit rien

- On lève la tête

- On regarde droit dans les yeux

- Et on ne bouge pas. On attend.

 

Vous êtes intouchables. C'est vous qui décidez de la façon dont vous allez inverser la situation. Mettez les mal à l'aise. Jouez sur l'effet de sidération. Sortons des schémas classiques.

C'est à nous de jouer maintenant.

 

Femmes et personnes non-binaires: Relevez la tête.

Hommes et personnes non-binaires : Soutenez-nous. Prenez la parole, ne rigolez plus naïvement « pour faire bien ». Ne nous expliquez plus que « ce n'était pas méchant, pas voulu, pour rigoler ». Ces situations ne sont pas normales et nous blessent et pèsent profondément.

Soyez là pour nous.

  • LA RÉPARTIE

ENVIE D'AMÉLIORER PETIT À PETIT VOTRE RÉPARTIE?

 

Il s'agit d'un véritable art. À travailler.

Jour après jour.

 

Nous vous conseillons la lecture du petit mais néanmoins très bon guide dédié à ce sujet, intitulé « L'ART DE LA RÉPARTIE » écrit par Séverine DENIS.

Vous y trouverez au travers de leçons agrémentées d'exemples concrets, des petits entraînements à réaliser à la fin de chaque chapitre.

 Les sujets traités vont de la Confiance en soi, à l'étude et au travail sur ses propres émotions et réactions en passant par notre capacité d'écoute, l'activation de notre imagination, la puissance des échanges, la puissance du « oui » et enfin, notre capacité et volonté à « oser ».

 

Pour plus de perfectionnement dans cette pratique, allez regarder des matchs d'improvisation. Et gardez en tête qu'il y a certes du talent. Mais surtout beaucoup d'entraînement et de pratique.

  • LA RÉSILIENCE

LA RÉSILIENCE C'EST QUOI?

 

On a bien envie de juste vous dire d'aller voir l'interview d' @adelehaenel  (sur Instagram) réalisée par Edwy Plenel pour @mediapart (enquête menée par @marineturchi -sur instagram- ) - diffusée le 04/11/19.

Tout est dit. Tout y est.

 

La résilience est un phénomène psychologique qui consiste, pour un individu affecté par un traumatisme, à prendre acte de l'événement traumatique de manière à ne pas, ou plus, vivre dans le malheur et à se reconstruire d'une façon socialement acceptable.

Source : @wikipedia (la définition la plus juste selon nous)

 

Le traumatisme peut prendre toutes les formes possibles. Dans les contextes d'agressions, de violences verbales, physiques, sexuelles, conjugales, la réussite de cette démarche réside souvent dans le fait de trouver la force en soi pour prendre la parole, et/mais surtout, la chance d'être entendu.e, écouté.e, compris.e et épaulé.e.

L'écoute et le soutien de l'entourage (proche) est aussi important que le courage de la victime. C'est la combinaison des deux qui permet d'accéder à cet état de résilience et de pouvoir se reconstruire. Et d'avancer. Malgré les épreuves et traumatismes vécus.

 

Afin d'en apprendre davantage sur la Résilience, nous vous invitons à écouter le podcast dédié à ce sujet réalisé par @emotionspodcast (sur instagram): « La résilience : comment redonner du sens à sa vie après un traumatisme? ».

 

Et de regarder cette interview d'@adelehaenel sur @mediapart si ce n'est pas déjà fait.

Encore Bravo.

Le message est puissant et la mise en avant du pouvoir du collectif, de la bienveillance humaine et plus largement de la notion d'Humanisme résonnent fort en nous <3. Merci.

  • LE SYNDRÔME DE L'IMPOSTEUR

LE SYNDROME DE L'IMPOSTEUR C'EST QUOI?

 

Une étude menée en 1978 par Pauline Rose Clance et Suzanne Imes, chercheuses à l'université d'État de Géorgie, décrit le syndrome de l'imposteur par le fait de ne jamais justifier sa propre réussite par sa propre intelligence. Décrivant ce dernier comme une forme de doute maladif qui consiste essentiellement à nier la propriété de tout accomplissement personnel.

 

En creusant, il s'avère que le syndrome de l'imposteur ne touche pas que les femmes, comme nous pouvons souvent le lire et l'entendre, mais bien toute la population.

Il s'agit d'une peur que nous avons en chacun.e de nous : la peur d'être rejeté.e/ne pas être accepté.e par sa communauté. On parle alors d'appartenance sociale, directement liée à l'Humain. Il s'agit d'un mécanisme de survie ancré au plus profond de nous.

Toute personne nouvelle dans un groupe va vivre ce syndrome (pour être précis on parle d'ailleurs dans ces études de « phénomène », car passager) qui va mettre plus ou moins de temps à s'estomper selon les personnes.

Les femmes étant souvent moins nombreuses en entreprises, elles mettront plus de temps à trouver leur place et asseoir leur légitimité face aux stéréotypes sociaux auxquels elles font face.

 

 

—>Comment il se manifeste :

 

Anxiété, faible confiance en soi, culpabilité vis-à-vis de sa propre réussite, dénigrement, peur de tromper son entourage, peur qu'on nous en demande plus, que les exigences augmentent, peur d'être démasqué.e.

 

—>Comment on y fait face sans y être préparé.e :

 

La fuite, l'inaction ou encore la stratégie d'auto-sabotage : combien de femmes par exemple attendent de remplir 80% à minima des pré-requis d'une fiche de poste pour se sentir légitime à postuler alors que des hommes n'en remplissant à peine la moitié osent y aller sans problème?

 

—>Ce qu'il faut faire :

 

Chaque compliment reçu est à précieusement inscrire et relire dès que ce sentiment d'imposture refait surface. Bien se remémorer ses succès et ses réalisations en cas de doute. Il est important également d'en parler autour de soi pour se rendre compte d'à quel point nous le traversons et vivons tou.te.s.

 

Il nous faut tou.te.s en prendre conscience et travailler dessus avec le temps. Car il se remanifestera à chaque nouvelle étape de nos vies : nouvel emploi, déménagement, arrivée dans un nouveau groupe social, une nouvelle communauté, etc.

 

A garder en tête :

 

1/ Le syndrome de l'imposteur est une phase normale et nécessaire de notre mécanisme d'apprentissage : il s'agit d'une étape vers une réussite. C'est en réalité une source importante d'apprentissage à qui sait l'analyser et l'utiliser à bon escient.

2| Il est important de se rappeler et rappeler à nos enfants que nous avons Tou.te.s le droit de douter, le droit d'avoir ces sentiments d'imposture. Nous sommes Tou.te.s infaillibles et imparfaits.

3/ Enfin : le sentiment d'imposture est un gage d'Intelligence et d'Humilité. « Rare sont les personnes vraiment compétentes ou intelligentes à ne jamais douter d'elles-mêmes ». Kevin Chassangre - auteur du livre « Cesser de vous déprécier ! Se libérer du syndrome de l'imposteur ».

 

Pour conclure : les vrais imposteurs ne se posent pas toutes ces questions ;)

 

Nous vous invitons une nouvelle fois à écouter le très bon épisode sur le podcast @emotionspodcast( sur instagram) de @louiemedia (sur instagram) dédié à ce sujet: Le syndrome de l'imposteur : pourquoi nous hante-t-il?

  • LA CHARGE MENTALE

LA CHARGE MENTALE C'EST QUOI?

 

Tu rentres chez toi, il y a cette facture dans la boîte aux lettres. Tu poses tes clés et tes affaires dans l'entrée (l'ampoule est cassée depuis 2 jours il faut la changer ), tu vas dans ta chambre te déshabiller pour te mettre à l'aise et il y a ce tas de linge à ranger que personne n'a géré depuis des jours . Alors que tu t'apprêtes à enfin te motiver pour le faire : Tu te souviens de ce texto que tu dois absolument envoyer pour confirmer ce rdv, en posant ton téléphone il y a ce papier sur la commode qu'il faut gérer , tu le mets à coté de ton ordi pour y penser .. posé sur la table... qui n'a pas été débarrassée . Tu mets tout dans l'évier mais il est déjà plein, tu ouvres donc le lave vaisselle qui n'a pas tourné… Tu le lances donc… et mince il n'y a plus de pastilles pour lavage. Tu vas le mettre sur la liste de course. Il n'y a plus non plus ça, ça et ça. Ah tu vas vérifier s'il reste du dentifrice. Tu ouvres le placard de la salle de bain et vois tous ces produits dont tu ne te sers jamais, ces médicaments, il faut faire du tri mais pas maintenant. Tu es crevé.e, mais il va falloir le faire. Tu décides d'aller te reposer un peu avant d'aller chercher les enfants,mais tu n'as pas fini le tri et tous les vêtements sont sur ton lit. Tu commences à ranger. Ton cerveau continue sa route , ce n'est que le début. Faut VRAIMENT que tu gères ce papier. Et cette facture. Est-ce que tu as bien pensé à dire à la nounou que …et pour les vacances est ce qu'iel a pensé à réserver?  On a quoi déjà ce weekend …Tu as encore 3 points à checker pour cette présentation.. Tu dois absolument rendre ce document demain sinon tu seras hors délai, et tu as tellement bossé dessus et MEEEEERDE TU AS OUBLIÉ D'ALLER CHERCHER… tant pis c'est bon tu ne peux pas tout faire. Ah iel vient de rentrer. « On mange quoi ce soir?! » Vraiment?!? Je ne sais pas. Tu t'en occupes? Oui mais « TOI tu as eu une grosse journée et t'es crevé.e ?! » Tu as pensé à aller chercher ...? « Je ne te l'ai pas re-dit du coup tu as pensé que… »

« Ok, laisse tomber, je vais men occuper. »

 

La charge mentale peut prendre toutes les formes et intensités possibles. Elle n'en reste pas moins pesante et épuisante pour tou.te.s. A tous les niveaux.

 

Elle est définie comme étant le fait de devoir penser à tout. Tout le temps.

Statistiquement elle serait principalement portée par les femmes.

Les faisant glisser doucement vers un état d'épuisement cérébral et physique permanent. Impactant pour elle, mais avec le temps, également pour le couple et/ou l'entourage.

 

Dans la réalité : La charge mentale n'a pas de genre. Aucun.e de nous n'est prédisposé à gérer tel ou tel sujet. À penser et à se rappeler constamment de tout. C'est un exercice. Nécessaire pour le bien de tou.te.s et agréable pour personne.

  • LA CARENCE AFFECTIVE

L'humain a besoin de l'humain pour fonctionner.

Cela paraît évident. Cependant nous ne prenons pas suffisamment le temps d'y accorder une place précieuse dans nos quotidiens. Pour aller mieux/bien : On pense à notre alimentation, à faire du sport, à travailler sur nous-même. Qu'en est-il de notre rapport aux autres?

 

C'est dans nos gênes. Dans notre être. En nous. Quoi que nous en disions. Nous ne pouvons nous passer des autres.

 

—> Notre plus grande angoisse ?

Le rejet de l'autre. La mise à l'écart. L'absence de convivialité. L'abandon. L'exclusion.

 

On parle de mort sociale.

Nous pouvons souffrir profondément de cette carence affective (troubles psychologiques, perte de sens, etc.) pouvant aller jusqu'à la mort.

 

—> Quoi faire ?

C'est simple : 2 à 3 contacts humains par jour (être pris.e/prendre dans les bras par exemple) seraient aussi puissants, importants et efficaces que toutes les cures que nous puissions faire.

Dans une société de plus en plus individualiste, et pourtant toujours autant en quête de bien-être, de sens et de bonheur : N'est-ce pas le moment de relever la tête et de s'ouvrir aux autres?

De se soutenir. De s'entraider. D'avancer.

  • NOS PENSÉES

Nos pensées ne sont que des pensées. Jusqu'à ce que l'on décide qu'elles deviennent notre réalité.

Prenez conscience que vos pensées polluantes ne sont que des pensées et non votre réalité. Observez-les et laissez-les passer. Tranquillement. Comme des nuages.

 

En parallèle, gardez en tête le processus suivant, issu de la pensée holistique :

La pensée génère l'énergie qui génère la matière.

 

Cela signifie que ce que vous décidez, consciemment, finira à force par se réaliser.

 

Avec une bonne prise de recul et un bon travail sur soi : tout n'est finalement qu'une question de prise de conscience et de choix.

Vous êtes les seul.e.s maîtres à bord.

Bon envol à tou.te.s

  • ENTREPRENDRE

Ne laissez jamais personne vous freiner dans votre ambition. Ne laissez jamais la peur des autres vous contaminer. Cette peur leur appartient.

 

Vous avez une idée qui vous tient à cœur? Qui vous consume? Vous avez ce feu au fond de vous, vous savez que c'est juste, que c'est nécessaire, que c'est ça et que c'est maintenant : Foncez.

 

Au pire vous aurez appris.

Quoi qu'il arrive vous aurez tout gagné.

 

Sortons de notre zone de confort. Entreprenons.

C'est ainsi que, petit à petit, nous éloignons nos peurs et cassons nos barrières mentales. En y faisant face & En avançant. Toujours plus loin. Nos seules limites sont celles que l'on s'impose.

  • LA PASSION

« Rien de grand en ce monde ne s'est jamais accompli sans passion ». Hegel

 

Et cette passion on l'a. Elle brûle en nous. Un peu plus chaque jour. Grâce à ces injustices. Grâce à ces réflexions. Grâce à ces remarques. Grâce à ces actes. Grâce à cette solidarité qui prend naissance, petit à petit, en nous, partout autour de nous.

 

Ce n'est que le début.

  • LA PEUR

LÀ OU IL Y A DE LA PEUR, IL Y A DU POUVOR

 

Ne l'oubliez jamais.

Foncez.

Osez.

Ne demandez pas la permission.

Ne sollicitez pas trop d'avis.

Ne laissez pas la peur des autres vous atteindre. Elle leur appartient.

Écoutez au fond de vous.

Entendez ce qui résonne.

Faites vous confiance.

Lancez-vous.

Vous n'avez rien à perdre. Mais tant à apprendre.

Vivez. Profitez. Expérimentez.

Chutez. Relevez-vous. Apprenez. Avancez & •

 

« LÀ OÙ IL Y A DE LA PEUR, IL Y A DU POUVOIR » : Citation du livre « Âme de Sorcière » d' @odilechabrillac (sur instagram)

—> À lire et relire.

Il a été un des éléments déclencheurs qui ont inspirés la création de THE SORORITY @jointhesorority (sur instagram)

 

La suite « Sortir des bois, Manifeste d'une sorcière d'aujourd'hui » est à présent disponible en ligne et dans vos librairies

 

Découvrez également le compte incroyable @balancetapeur d' @angelo_foley (sur instagram) pour cheminer dans cette voie

 

—> Procurez-vous dès à présent son dernier livre « Les 21 peurs qui empêchent d'aimer » pour avoir une belle base de réflexion, pour petit à petit identifier ces peurs, les appréhender et les affronter au mieux.

Belle lecture à tou.te.s.

 

Et utilisez cette peur. Ne la fuyez pas. Apprivoisez-la. Elle est précieuse.

  • L'ENGAGEMENT

Si vous n'êtes pas avec nous, vous êtes contre nous.

Ne pas prendre position : c'est prendre position.

 

Ne pas en parler.

Éviter le sujet.

Ne pas participer.

Trouver des excuses.

En rigoler.

Minimiser.

C'est y contribuer. Silencieusement.

 

Nous avons tous nos quotidiens et autre chose à faire.

 

Cela tombe bien : ça ne prend que quelques secondes

 

Quand quelque chose d'anormal se passe devant nous, quand on sent au fond de soi ce sentiment de gêne naître face à une situation:

On stoppe tout.

On met ses propres peurs et son inconfort de côté.

La personne en train de se faire agresser, insulter, moquer devant nous est en plein état de sidération.

Elle est incapable de se défendre.

 

On a la chance à cet instant de pouvoir venir en aide et protéger un être humain.

Il n'y a rien de plus puissant au monde.

 

Si nous ne le faisons pas à notre niveau.

Qui le fera?

  • L'ACTION

« Cette vision renforce celle du transgénérationnel, où une forme se transmet par répétition, et permet de comprendre les vagues de libération que vit la société :

Lorsqu'un groupe ose et fait différemment, tout le champ collectif reçoit cette information et peut aussi changer. » Extrait du livre « La puissance du Féminin » de @camille.sfez

 

Nous sommes le changement auquel nous aspirons.

Tou.te.s à notre niveau. Même si la tâche semble immense pour chacun.e.

Même si nous nous sentons dépassés, désemparés et démunis de toute possibilité d'impact possible à notre échelle individuelle : C'est à nous de l'incarner.

Jour après jour.

Sur l'ensemble des sujets qui nous tiennent à cœur.

Le plus dur est d'agir. De déranger. D'oser dire non.

Alors qu'on a toujours laissé passer.

 

La position de neutralité face à une situation d'injustice est néfaste pour tou.te.s.

Les mots justes de @s_assbague (sur instagram) exprimés hier lors d'une conférence organisée par @laurenbastide (sur instagram) résonnent encore fort en nous : « Tout le monde milite. Ceux qui s'y refusent militent alors pour l'ordre établi ».

Assumons ce militantisme. Ce n'est pas un gros mot.

C'est un début. Vers un après.

 

Nous n'avons pas été habitué.e.s ni éduqués à agir. À réagir. A l'ouvrir.

On pense que cela pourrait nous causer du tord.

Créer des tensions. Casser des relations.

Mais quel impact avons-nous alors en décidant de rester dans cette posture?

Nous aspirons tou.te. à ce fameux « monde de demain ».

Mais si nous n'en sommes pas les premièr.e.s actrices/eurs dans nos quotidiens

Qui le sera?

 

Cette section va sûrement déranger. C'est la preuve que cela ne va pas de soi.

Que cela n'est simple pour personne.

Plein de courage à tou.te.s. Prenons le temps. Mais osons.

  • L'EMPATHIE

« Même Adam Smith fondateur du libéralisme parlait de l'empathie comme ciment fondamental pour faire société. L'empathie est un pont jeté entre nous et les autres, entre ici et là-bas, entre maintenant et demain. Nous en avons besoin pour refaire destin commun, grandir en humanité, collectivement et individuellement ».

@sandrineroudaut (sur instagram) dans son livre « L'UTOPIE MODE D'EMPLOI » dont nous vous recommandons la lecture.

  • L'ACCEPTATION

Depuis plusieurs mois que nous communiquons sur les réseaux sociaux nous avons dû faire face et sommes spectateur.rices. Spectateur.rices de plusieurs débats.

Sur notamment les termes utilisés. Les mouvements.

Ce qu'il faut dire ou ne pas dire. Faire ou ne pas faire

Penser ou ne pas penser.

Chacun.e en va de son opinion personnelle. De sa vision. De ses propres valeurs. De ses propres définitions.

 

On aimerait juste aujourd'hui rappeler un mot.

Notre base. Notre inspiration.

Utilisé de plus en plus, un peu partout. Mais souvent finalement oublié au vu de ces échanges.

 

La sororité.

La solidarité entre les femmes et plus généralement l’adelphité : entre tous les genres.

 

Rappeler ce terme, c'est prendre conscience qu'on agit toutes, ensemble, dans un but commun.

C'est ACCEPTER que nous avons chacune nos façons de faire, de penser, de parler, d'agir ou de ne pas agir.

À notre niveau. Sans avoir à être jugées.

C'est se rendre compte que c'est ce tout qui permet de créer ce mouvement.

Grâce à nos différences et nos complémentarités.

 

Il n'y a pas de bonnes ou mauvaises façons de faire ou de ne pas faire.

Des meilleures que d'autres.

Des trop ou pas assez.

Trop ou pas assez radicales.

Trop ou pas assez violentes.

Des qui aident ou desservent la cause. Des bons termes ou des mauvais termes utilisés.

 

Non.

Il y a juste nous toutes.

Unies.

Qui faisons face aux mêmes situations.

Qui faisons front.

Pour un but commun.

Pour notre sécurité. Pour notre bien-être. Pour notre droit à nous épanouir.

À nous accomplir.

En toute liberté.

En toute égalité.

 

Prenons de la hauteur.

Prenons conscience qu'en se critiquant sur ces sujets, ces définitions, en mettant en doute nos actions, nos paroles, en se focalisant sur des détails... on en oublie parfois (souvent) le vrai but de tout cela.

Prenons conscience que cette diversité fait notre richesse et que sans les actions des unes, d'autres n'oseraient pas. Sans le relais et le soutien d'autres, certaines arrêteraient. C'est un marathon que nous menons. Ensemble.

Nous courons chacune à notre rythme. À notre façon. Comme on le souhaite. L'important : c'est d'avancer

 

Notre énergie et notre temps sont précieux.

Prenons-en soin.

Prenons soin de nous.

 

Économisons-nous pour faire avancer les choses. Ensemble.

Acceptons nos différences

Honorons notre unité.

  • LA GÉNÉROSITÉ

La générosité nourrit notre âme et celles que nous aidons.

 

NOTRE MANTRA : La bienveillance amène la bienveillance

ENSEMBLE. PARTOUT. MAINTENANT.

  • LA BIENVEILLANCE

LA BIENVEILLANCE AMÈNE LA BIENVEILLANCE.

 

Dans la rue, les transports, au bureau, chez vous. Partout.

Trois ans que nous travaillons sur ce projet. Il a été jusque là source de rencontres, d'entraides, de partages mais aussi et surtout d'actes de Bienveillance incroyables.

 

Cette Bienveillance est, et restera, notre moteur. Au quotidien. Au sein de ce projet. Mais également dans nos vies. Chaque jour. Pour toujours.

 

N'attendez rien. Faites les choses pour vous. Car vous le souhaitez. Car cela vous fait du bien. Car vous en avez envie.

Soyez attentifs aux signes. Devenez léger.e.s.

Prenez des risques. Ne vous posez pas de questions inutiles. Lâchez prise.

 

Le plus important, votre fil rouge : Faites le avec Bienveillance. Dans toutes vos décisions. Placez l'humain au coeur de vos actions.

 

Vous allez expérimenter des choses incroyables. Ne les attendez pas. Elles se présenteront à vous petit à petit. Restez ouvert.e.s et attentifs aux signes.

Ouvrez l'oeil.

 

Belle journée à vous et belle route sur ce chemin

 

Ensemble. Partout. Tout le temps.

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